Pendant la seconde guerre mondiale, en 1943, René Barjavel écrivait un roman sur l’effondrement. Tout d’un coup, plus d’électricité nulle part sur terre. Passionnant. Inquiétant aussi.

Un auteur injustement méconnu pour un roman drôlissime. Une leçon d’anti machisme donnée par…un homme.

Dix-sept nouvelles qui évoquent les thèmes favoris de cet auteur argentin : l’immortalité, les labyrinthes, l’écriture. De la très grande littérature, n’en déplaise au jury qui ne lui a jamais attribué le Nobel!

Un jour, un journaliste lui demanda : en trois mots, donnez une définition de l’essence de l’art ? René répondit : rien de trop. Sublime non? Comme sa poésie.

Quand la poésie vous fait voyager si loin qu’elle vous conduit vers la sagesse…

Mon premier choc littéraire.

Érotisme et psychanalyse se mélangent pour le plaisir des sens.

Quand un des plus grands philosophes français parle de la sieste, cela donne un livre dont l’intelligence tient en éveil.

Beau et simple comme l’enfant que nous ne sommes plus…

Réjouissant. Une charge féroce contre les USA et la psychanalyse. J’ai adoré!

Une douce ivresse qui naît du rythme hypnotique qui relie des mots mystérieux.

Drôle et sexy

Une écriture éblouissante, un futur sombre. Notre futur si nous continuons de nous soumettre à la servitude volontaire

Elle était une fois, une contrée où la domination était féminine

Un avion ça va, deux avions bonjour les dégâts, bonjour les dégâts

Un titre superbe et drôle. Les aphorismes le sont tout autant.

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